Faites un peu plus connaissance avec l’équipe de ligue 2022 en découvrant les portraits de Jonas, Justin et Nicolas et leur passion pour le vol de distance en compétition !
Je vole depuis maintenant 10 ans et je fais de la compétition en parapente depuis 5 ans.
J’ai commencé le parapente il y a environ 5 ans et la compétition depuis 2 ans.
J’ai débuté le parapente en 2018 et ai fait ma première compétition en août 2020, dans les Barronies provençales.
Parce que, pour moi, c’est le sens même du parapente. La possibilité de se balader où tu veux (ou presque) avec le seul moyen d’une voile, c’est juste trop bien !
J’aime cette sensation de liberté et le fait de voler longtemps.
La distance est venue naturellement car je voulais voler toujours plus longtemps, toujours plus loin et maintenant, toujours plus vite !
Parce que j’ai peur en accro !
Non, plus sérieusement, ce que je préfère, c’est crosser et me balader de massif en massif.
Dans tous les sports que j’ai pratiqué, j’ai toujours fini par faire de la compétition. Je pense que c’est un des aspects du sport le plus important et attrayant pour moi.
Je fais de la compétition pour progresser dans ma façon de piloter et pour pouvoir mesurer mon niveau avec les autres pilotes
J’ai commencé la compétition afin d’obtenir mes points pour le diplôme d’Etat et j’y ai pris goût. La compétition en cross me permet d’optimiser mes vols et d’apprendre à voler vite.
D’autre part, je trouve ça important pour un futur moniteur de découvrir l’ensemble des pratiques/disciplines présentes au sein du Vol libre. Cela permet d’avoir une vision globale du milieu dans lequel il travaillera.
Je fais environ 100h de vol par an. C’est très peu comparé aux autres mais études et travail obligent !
Environ 350h en 2021.
240h de vol durant la saison 2021. J’espère en faire 300 en 2022.
Je vole actuellement sous une Niviuk Icepeak X-One.
Niviuk Peak 5 d’abord. Maintenant en Niviuk Icepeak X one.
Ma première voile payée de ma poche était une Atlas de chez Gin.
Je suis passé en suite chez Niviuk avec une Ikuma 2, une voile hyper sécure. J’ai poursuivi chez Niviuk avec l’Artik 6. avec laquelle j’ai fait mes débuts en compétition et mes plus gros cross.
Je vole actuellement avec une Ozone Mantra 6 qui compte 700h en l’air en attendant de recevoir ma Niviuk Peak 5.
Intégrer l’équipe de Ligue, c’était, pour ma part, l’opportunité d’avoir une dynamique de jeunes pilotes autour de la compétition, un coaching et un accompagnement vers le haut niveau en plus d’une super ambiance de groupe !
Le fait d’appartenir à une structure comme la ligue à de nombreux avantages en terme de logistique ou au niveau financier mais c’est surtout le fait de pouvoir partager son expérience entre pilotes qui est intéressant au sein de la ligue. Il y a une très bonne ambiance et un bon esprit d’équipe, je trouve ça top !
L’équipe de ligue est un bon moyen pour faciliter sa progression en compétition. Le vol libre est un sport d’équipe ! Le groupe est plus fort que l’individu isolé, c’est vrai en l’air mais aussi au sol.
Outre le coaching et l’aspect financier, c’est la cohésion présente dans le groupe qui est hyper intéressante. Faire partie d’une équipe soudée permet de se placer dans un climat de progression.
L’intérêt d’être coaché, c’est de pouvoir être accompagné et conseillé dans ses choix, sa stratégie, son évolution.
Cela permet d’être aidé à trouver des pistes d’amélioration, d’être recadré si besoin et d’apprendre de nouvelles pratiques.
Avoir un coach, c’est tirer profit de l’expérience d’un pilote.
Le coaching permet de se fixer des objectifs clairs. Cela permet d’avoir un regard extérieur sur ses manches de compétition afin de cibler les pistes de travail potentielles.
Objectif moyen terme :
Objectif long terme :
Etre qualifié pour les coupes du monde ainsi que performer en cross, garder mon statut relève.
Monter sur mes premiers podiums en classement Open sur des pré-coupes et PWC.
Le plaisir est en première ligne ! Je n’ai pas la prétention de devenir champion du monde.
Mon objectif sur cette saison est de profiter un maximum avant de me lancer dans la formation du monitorat.
Selon mes résultats sur cette saison, j’aimerais pouvoir partir sur ma première coupe du monde la saison prochaine.